17.7.10

Km 112

J'arrive sur Lizzarusti. Je cours maintenant comme sur un off, sans contrainte de chrono, de barrière horaire. Le dossard me suffit pour bénéficier des ravitaillements. Il faut à chaque fois expliquer au bénévole pourquoi je n'ai plus de chip, et pourquoi je suis toujours en course. D' ailleurs je ne le sais plus trop moi même. Je veux aller seulement le plus loin possible. Il fait froid, la chaleur n'est pas encore là. Ça glisse toujours autant. Une pluie fine sur un sol durci par la sècheresse des jours précédents, et ça patine !!! Avant de poser le pied il faut analyser les conséquences, cela devient fatiguant. J'y vois mieux toutefois qu'avec la frontale ou des myriades d'étoiles constellaient mes lunettes. J'ai juste changé de tee shirt et de chaussette à Tolosa avant de reprendre le fil de la course. Mouillé pour mouillé...... Je m'arrête et repart quand je veux, et ou je veux. J'ai entendu qu'il était question de neutraliser la course. C'est vrai que la montée à Txindoki avec ce temps n'est pas des plus agréable, ça glisse et il fait froid. Mon genoux me fait mal dans les descentes et les crampes au niveau des mollets dans les cōtes sont douloureuses. Objectif personnel maintenant, le km 128


iPhone news

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire