J'ai trouvé cette édition bien plus dure que celle que j'avais pu faire il y a 3 ans. Le temps pluvieux de ces derniers jours a détrempé les sols et sans avoir autant de boue qu'au Trail des Citadelles le fait de courir de nuit, rendait la course assez technique avec des appuis fuyants, des pierres glissantes, sans oublier les ornières; dont une a eu raison d'un de mes genoux. Le parcours aussi a été durci par rapport à celui que j'avais connu, à partir de Soucieu en Jarrest (km 45) de nouvelles "bosses" à passer dont celle de l'aqueduc, d'un kilomètre et demi avec un passage à 20%, sans oublier la dernière, celle de Fourvière qui nous offrait en plus une descente cassante. Les 5 derniers kilomètres) seront partagés entre, escaliers, pavés, relance dans les rues de Lyon, berges le long du Rhône, pour finalement franchir la ligne d'arrivée.
C'est dans la montée après le ravitaillement de Ste Catherine (km 29) que je me suis tordu la jambe au niveau du genoux, bêtement mon pieds gauche a glissé à cause de la boue sur un sentier en dévers. Il s'en est suivit une chute avec une douleur légère qui c'est accentué lors de la descente suivante. Un "strap" posé au ravitaillement de St Genoux (km 34), m'a permis de continuer jusqu'à l'entrée de Lyon ou dans la descente de Fourvière (km 63) la douleur a été à nouveau présente.
Je regrette d'avoir été trop prudent dans la montée de la côte de l'aqueduc et de Fourvière car après j'ai du alterner marche et course durant 6 km pour pouvoir arriver (que c'est long et que c'est rageant de se faire doubler si près du but). Bien content d'en avoir terminé quand même car le coeur n'y était plus !!! et déçu de ne pas pouvoir faire finir en 7h30.
J'ai trouvé cette édition bien plus dure que celle que j'avais pu faire il y a 3 ans. Le temps pluvieux de ces derniers jours a détrempé les sols et sans avoir autant de boue qu'au Trail des Citadelles le fait de courir de nuit, rendait la course assez technique avec des appuis fuyants, des pierres glissantes, sans oublier les ornières; dont une a eu raison d'un de mes genoux. Le parcours aussi a été durci par rapport à celui que j'avais connu, à partir de Soucieu en Jarrest (km 45) de nouvelles "bosses" à passer dont celle de l'aqueduc, d'un kilomètre et demi avec un passage à 20%, sans oublier la dernière, celle de Fourvière qui nous offrait en plus une descente cassante. Les 5 derniers kilomètres) seront partagés entre, escaliers, pavés, relance dans les rues de Lyon, berges le long du Rhône, pour finalement franchir la ligne d'arrivée.
